La poursuite du bien commun : voyage au cœur de la pensée libérale
Les libéraux classiques sont connus pour leur scepticisme à l’égard de concepts tels que l’intérêt général ou la justice sociale. Pour cette raison, ils sont souvent classés parmi les individualistes, les égoïstes et les personnes sans âme. Ils ne se soucieraient pas des autres ! Un tel jugement montre une ignorance totale de ce qu’est réellement le libéralisme, en théorie comme en pratique.
La tradition libérale classique s’est développée à travers un processus d’essais-erreurs pour tenter de trouver les institutions appropriées pour nos sociétés ; celles qui permettraient à chacun, quels que soient sa religion et ses origines, de suivre ses propres aspirations ; sa vision personnelle de « la bonne vie ». La tolérance était l’une de ses idées clés. En ce sens, cette tradition était à la recherche du bien commun.
Cette recherche conduisit les libéraux à prendre la défense de la propriété. Il s’est avéré que les institutions qui protègent la propriété donnent à chacun une chance de s’épanouir en exerçant son libre arbitre. Mais ce n’est pas tout ! La propriété, pour des raisons que nous comprenons de mieux en mieux, s’avère être le meilleur moyen de promouvoir les nombreuses choses que ceux qui font appel à « l’intérêt général » ou à la « justice sociale » tentent en vain de promouvoir : l’accès à une bonne éducation pour tous, l’accès à de meilleurs soins de santé, une meilleure protection contre les accidents, un meilleur environnement…
L’édition 2025 de l’Université d’été sera l’occasion d’approfondir ces sujets avec, comme toujours, les contributions de chercheurs de haut niveau mais aussi de celles et ceux qui agissent aujourd’hui pour faire advenir un monde meilleur sans tout attendre de l’État et de la coercition.
Les inscriptions seront ouvertes dès le 15 janvier. Alors, consultez de nouveau cette page le 15 janvier et rejoignez-nous pour ce voyage qui nous amènera au cœur de l’âme et de la pratique de la pensée libérale.